Photo du Martyr |
Brève
description
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FERRAT HACENE
Arrêté à
Akfadou vers le début de mars 1957 en compagnie de Ferrat Hocine, Acherir Mohand Cherif
(Ouramdane), Acherar Mohand Tahar et Hamadouche
Mohand Chérif et emmené à un poste militaire français se trouvant à
Iguersafene. Les français lui avait refusé la nourriture plusieurs
jours avant qu’ils ne l’obligent à creuser sa propre tombe. Les
français l’avaient abattu à l’intérieur de la tombe (vers la fin
mars début avril 1957). Cela c’est passé alors qu’il n’avait que 17
ans.
Moussebel au sein de
l’OCFLN
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FERRAT HADJ RABAH
Arrêté
à Ighil Amar (Ait-salah) en compagnie de Ferrat Tahar, il
a été abattu le 03 avril 1958
dans la région de Béni Zikki, son corps n’a pu
être retrouvé à ce jour.
Moussebel au sein de
l’OCFLN
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FERRAT HOCINE
Tomba au
champ d’honneur vers la fin mars 1957. Arrêté à Akfadou et emmené à un
poste militaire se trouvant à Iguersafene, avant d’être abattu
quelques jours après, en compagnie de Ferrat Hacene, Acherar Mohand Tahar et
Acherir Ouramdane. Les moudjahidine du village Iguersafene disent
qu'il a été abattu le jour même de l'évasion de Hamadouche Md Cherif
du camp du camp.
Moussebel au sein de
l'OCFLN.
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FERRAT
M’HAND
Tomba
au champ d’honneur en 1957 à Aouzellaguène. Il
activa sans relache au sein de l'organisation de l'ALN et participa
à plusieurs embuscades contre les militaires francais avant
qu'il ne tombe au champ d'honneur en 1957 à
Aouzellaguène, loin de son village.
Moudjahid au sein de
l’ALN.
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FERRAT MOHAND
AMOKRANE
Tomba
au champ d’honneur vers la fin de 1959 à Akfadou.
Moussebel au sein de
l’OCFLN.
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FERRAT MOHAND
OULHADJ
Né le 20 novembre 1924 à Ait-Salah. Tomba au champ d’honneur
en 1958 à " Khenguet-Meiza ", près de Djebel Sidi-Ahmed,
entre Souk-Ahras et Sedrata, en revenant de
Tunisie.
Djoundi au sein de L’ALN. .
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FERRAT MOHAND
SAID
Tomba au champ d’honneur en 1956 à Timerzigine (au
nord du village
Houra).
Moudjahid au sein de
l’ALN.
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FERRAT RAMDANE
Né le 07 mai 1923 tomba au champ d'honneur le 01
octobre 1957. Tireur d'élite durant son service militaire dans
l'armée française dans les années quarante, il avait été contacté par
l'administration coloniale, juste avant le début de la révolution, afin de servir comme agent des autorités,
en qualité de gendarme ce qu'il refusa. On dit de lui qu'il était le
premier à prendre les armes dans la région des Ait-Idjer. Il fut
contacté par les Moudjahidine d'Aouzellaguène, aux premiers
instants de la révolution, pour sensibiliser les gens au Djihad. Il
avait réuni son village et avait prononcé un discours
anti-colonialiste, appelant les hommes à prendre les armes. Hamou
Amirouche dans son livre sur le Colonel Md Oulhadj parle d'un
discours qui est le même que celui prononcé par Abderrahmane mira à
l'Est. C'était
durant l'été 1955. Il avait été à la tète du groupe de Moudjahidine
qui avait réussi le premier accrochage contre les militaires français, au
lieu dit " Tivouchichine " au nord du village. Il continua ses
offensives par des attaques successives contre le camp militaire de
"Bouzeguène" centre et le camp militaire de "Houra". Il fabriqua de
ses propres mains des bombes artisanales avec lesquelles, il faisait
exploser les engins des patrouilles françaises. Il tomba très tôt au
champ d'honneur le 1er octobre 1957 au village Tazrout, probablement
trahi par les siens.
Aspirant au sein de l'ALN
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